Je ne guide qu’en surface, surtout sur ce projet. Je choisis les angles, et quelle photo je retiens.
Cette approche me permet de ne pas couper les élans et de ne pas poser ma réalité en lieu et place de celle que je cherche à capturer.
Le résultat c’est que les corps s’agencent suivent leur propre danse. Je les suis un peu, même si je sais que mes déplacements et la vitesse à laquelle les clacs de l’obturateur s’enchaînent ou se taisent influent finalement autant qu’une direction orale explicite.