Je remonte chaque allée du labyrinthe qui compose ton corps.
Je remonte mon regard sur ta cuisse, comme pris dans tes tentacules. Je sais que je ne devrais pas le désir m’appelle et me voilà incapable de me détacher.
Tu le sais, tu me laisses faire. Suis-je trop faible ou les émotions sont-elles impossibles à nier ?
Merci à Furii Suta