C’est toujours une étape où mon cœur s’emballe et je n’ai pas envie de changer ça.
On parle, on pense à autre chose, mais à un moment je demande de dénuder une épaule. C’est comme une convention non écrite pour signifier qu’on va commencer.
C’est un rien, mais il y a une montée d’adrenaline à me demander ce que je fais là, comment j’ose, comment ça va être perçu, et pourquoi je fais tout ça plutôt que de me cacher sous terre. Ça ne dure pas, grâce à la bienveillance des personnes en face de moi, mais c’est une étape qui n’est jamais neutre.
Avec Marlène.