Il n’y a pas de règle, ou plutôt il y en a trop.
Nous ne sommes nous même que quand nous les délions ces attaches pour nous en échapper quelques instants.
Le plus difficile n’est pas de prendre ces instants de liberté mais de savoir si on le veut. L’ancrage qui nous retient est si fort que nous n’en sommes même plus certains.
Tout change quand nous lâchons prise au moins une fois. Jusqu’au vestiaire de nos émotions quand nous nous réhabillons de nos liens.