Jusqu’à nous laissons-nous aller ?
Est-ce si souvent que nous oublions l’apparence, la décence et le paraitre ?
Pourquoi acceptons-nous une société toxique au point de devoir nier qui nous sommes ou en avoir honte ?
Je n’ai toujours pas réponse à ces questions et elles tournent bien souvent en tête. Moi qui ai survécu grâce aux conventions et aux règles morales que je m’imposais seul, se laisser aller me semble une île inatteignable. J’observe ces corps qui en reviennent, espérant pouvoir tracer la carte qui m’y conduira.