Jour après jour on avance. Que faire d’autre ? L’alternative c’est s’enfoncer un peu plus.
Alors on avance, en espérant que le mouvement nous distrait de la réalité. Nous ne sortirons jamais de ce désert. En avoir conscience n’empêche pas d’avancer. Au moins on a un but, même s’il n’est pas atteignable.
Avec Ségolène