Je tente régulièrement de changer le corps de mes photos. Plantes, fauteuils, il y a chez certains photographes un côte « vie réelle » que je ne trouve pas chez moi.
Et pourtant, le dépouillement a aussi un sens pour moi. Quand il n’y a rien d’autre que les lattes du parquet, le contraste du corps sur ce vide prend un autre sens.
Seul·e, au milieu de rien d’autre, sans artifice ni mensonge, sans autre volonté que d’être.