J’ai besoin de ma veste, mon armure. Elle me permet de me fondre dans le quotidien et de me défendre de sa violence.
Seul avec toi, dans ma fragilité, j’ose me mettre à nu.
Mais de me parer d’encre ou de fleurs, j’aurais l’impression de perdre à la fois la force de l’armure et le dénuement de l’absence de tout.
Il faut une grande force pour jouer. Je ne l’ai pas encore.