J’ai l’impression de braver l’interdit juste en montrant des photos de corps. J’ai beau retourner ça dans tous les sens, je n’en retiens pas un.
Rien de secret. Aucune perversion. Rien même qui ne touche à la morale.
Et pourtant…
Mis à part quelques amis que je ne vois malheureusement plus guère, je n’en parle quasiment pas aux personnes que je croise en face à face. Je suis un révolutionnaire de salon qui n’ose même pas dire ce qu’il fait de peur de la réprobation sociale.
Parfois j’ai l’impression d’avancer sur mon chemin et parfois je me dis que je n’en suis qu’au tout début.
Avec Hélène.