Je le ressens dès que je m’arrête. Il est là, tapis, attendant que mon esprit sorte de son tunnel.
Le poids de la vie pèse sur mes épaules, chaque jour, chaque semaine.
Je comprends ces vieux qui disent qu’ils ont trop vécu. Ce n’est pas tant qu’ils n’ont rien à découvrir. C’est qu’ils n’ont plus la force d’en porter plus.