La gêne de départ du corps c’est le mien mais pas que. C’est aussi regarder celui des autres. Je me retourne, je détourne le regard, comme si ça ne se faisait pas et que c’était indécent d’y poser l’œil.
Oser non seulement voir mais aussi regarder, même sans insistance et sans pensée malvenue, c’est tout un chemin.