J’admire la capacité de ceux qui viennent travailler avec moi de couper les liens le temps d’une demie-journée.
Je me doute que certains les portent lâches là où d’autres se font corseter voire étrangler au quotidien par la société mais ici, un instant, on abandonne tout ces liens.
Il y a-t-il vraiment des personnes pour vivre sans attache ?