Le grain de peau me fascine. Sans lui je crois que j’aurais arrêté le nu.
Je me demande si ce n’est pas ce qui me manque dans les photos de paysage. C’est beau, agréable, mais ce sentiment ne tient pas plus de quelques secondes, comme une pensée fugace.
Ce sont les aspérités, la texture, qui m’ancrent dans la réalité d’une photo.