Des petites rues entre de grandes murailles. Première étape près de vieux murs.
On se pose. Pas à pas c’est la plante verte qui nous accompagne. Un peu de douceur, du calme, un parquet et une plante verte.
C’est un peu étonnant rétrospectivement. Je parle beaucoup de repos, de sérénité, de calme mais il y a encore quelques années parler de corps ou de nu m’aurait mis dans un anxiété sans pareil. Il y a un long chemin derrière moi, même s’il en reste probablement encore autant.
Je parle corps mais j’ai compris depuis que l’enjeu est aussi d’abandonner les carapaces et les faux semblants.