La réalité n’est pas lisse.
J’aime ce grain de peau qui ressort. Il donne matière à ce corps.
J’aime ces défauts sur le parquets. Ils ancrent dans la réalité.
Une peau uniforme, un parquet parfait, quelle âme il y aurait-il ?
Gardez-moi le grain, les marques et les cicatrices. Gardez-moi le vécu qui nous rend vivant.