Elle m’avait demandé des plans de détail mais c’est toujours la présence sur place qui guide les photos.
Nous avons sorti des plans de détail, du grain de peau et des lumières rasantes, mais pas que ça. Les trois que je retiens en principales sont finalement des vues plus larges, avec un peu de recul.
Elle n’avait ni peur ni retenue ni crainte, et je crois que cette acceptation se ressent dans le résultat final.
« La photographie m’a aidé à aimer mon corps. Il en a parcouru du chemin depuis, le petit. J’ai mis du temps, mais je l’aime bien. Il est à moi. Il est moi. »
Ce sont ses mots.