La photo ne prend jamais qu’un détail instantané. On perd cette habitude dans une vie où tout est enregistré, capturé, examiné. Là il n’y a qu’un instant volé, dans un contexte que chacun doit imaginer.
On est sur du visuel mais je trouve que la photo se rapproche beaucoup plus de la littérature que de la vidéo. L’imaginaire y a une place prépondérante. On amorce avec un détail et l’esprit est là pour combler les pièces manquantes.